Ce travail interroge le concept d’avatar, version améliorée du moi, à travers la métaphore de la naissance et, par extension, de la Création. L’installation immerge le spectateur dans l’extrême épicentre de l’existence humaine, à l’intérieur de l’hyperréalité matérielle du corps, engendrant la confusion sur la vérité de l’avatar, de l’image digitale et du divin. Prenant vie grâce aux technologies d’animation 3D et de capture de mouvement, l’alter ego met en lumière la valeur marchande de la vie humaine à l’ère du capitalisme avancé, soulevant d’importantes questions éthiques.
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