Répondant au désir de voir, la photographie a toujours été révélatrice de fantasmes. S’appuyant sur ce constat, The company of men explore les multiples facettes des représentations de l’érotisme et du nu masculin, souvent peu présentes mais très codifiées.
Evoluant dans un fantasme d’innocence et de consommation de pureté, la figure fétiche et récurrente du corps masculin devient source de sensations charnelles; elle s’expose aux projections et regards de son observateur, amoureux ou voyeur. Entre romantisme et sexualité, suggestion et révélation, une invitation est lancée : celle de regarder, d’imaginer, de désirer.